Mon mari a un fils qui vient d'avoir 20 ans, il se drogue depuis l'âge de 13 ans.
Depuis 3 ans, il vit avec nous et la vie est un enfer, il nous a volé de l'argent pour acheter de la drogue à plusieurs reprises, il explose en permanence, il terrorise toute le maison, sa chambre est une porcherie que je nettoie régulièrement. Nous avons aussi d'autres enfants vivant avec nous qui souffrent énormément de cette situation.

Il a arrêté l'école à 16 ans en cours d'année, depuis 3 ans, il ne fait rien, avec son look, il ne trouve pas de travail. [………….]. Il est parti quelques temps à *******, il travaillait dans ******, nous lui avons trouvé un logement en payant ses loyers, l'EDF, bref toutes les charges, et cela s'est vite dégradé, il téléphonait régulièrement à son père pour qu'il lui envoie de l'argent, ce qu'il faisait, le propriétaire nous appelait régulièrement car il avait des soucis avec lui, ayant des fréquentations bizarres.
Il est donc revenu vivre chez nous avec 5000 euros de découvert sur son compte que nous payons actuellement sous forme de crédit et .., retour à la case départ.

Ensuite, j'ai fait une déprime, il a pu repartir vivre chez sa mère quelques temps après avoir coupé toute relation avec elle pendant 3 ans, sa mère le met souvent à la porte, ne pouvant gérer seule ce problème.
Il revient donc régulièrement chez nous, mais nous sommes au bout de nos limites, après plusieurs tentatives pour l'aider - qui se sont soldées par un échec à chaque fois - aides psychologiques, financières, etc., nous sommes complètement seuls, désemparés, impuissants.
Il a un suivi avec un psychiatre, mais qui ne donne pas grand-chose. Il est en rupture dans beaucoup de domaines, scolaire, social, professionnel et autres... Il vit la nuit, dort la journée... Il a pris toutes les drogues qui puissent exister, des drogues dures jusqu'à des remèdes pour les chevaux... et continue, sa mère ayant retrouvé à plusieurs reprises des seringues dans sa chambre, ce qu'il a avoué à son père. Il prend du Subutex depuis 2 ans.

Je déprime complètement, ma fille de ** ans ne peux plus le supporter et pleure régulièrement, l'autre fils de mon mari qui a aussi ** ans est malheureux et perturbé de voir son frère dans cet état... Et mon mari, est culpabilisé de faire vivre cela à tout le monde, il est stressé et a déjà fait 2 infarctus...

Je vous sollicite aujourd'hui, pour nous aider à trouver une solution, car toute la famille se détruit petit à petit... Un centre de soins et d'hébergement loin de toutes ses fréquentations et de sa famille serait pour nous une bouée de sauvetage.
Que devons-nous faire ? Sachant que notre foyer est sur le point d'exploser. Si aucune solution n'est trouvée, je serais obligée de partir avec ma fille, sachant que j'aime mon mari mais je ne peux faire supporter cela à ma fille plus longtemps.

Je vous remercie vivement de nous répondre sachant que nous avons déjà rencontré Info Drogue d'****** et une association sur ****** mais qui n'ont rien donné, ces structures ambulatoires ne sont pas suffisantes.

Merci de me répondre.

Aujourd'hui je réalise que mon fils à vraiment un problème de drogue. C'est la troisième fois qu'il a une attitude je dirai de "fou" : hier soir il m'a cassé à coups de poing l'armoire et la porte de la chambre, il a fallu le tenir de toutes mes forces pour qu'il ne détruise pas tout. Je crois maintenant qu'il était en manque de joints.

Le samedi et dimanche je l'ai emmené chez mes parents qui habitent dans un autre département pour qu'il ne reste pas avec ses collègues, pour éviter qu'il fume. J'ai fait exprès de rentrer très tard avec lui pour qu'il ne contacte pas ses amis. Pas le temps de garer la voiture dans le garage qu'il était dans tous ses états. [............].

Plus les mois passent, plus mon fils change et me parle très mal alors que je le respecte et l'aime énormément, je ne lui ai jamais manqué de respect.
Il me dit qu'il ne se drogue pas mais j'ai déjà trouvé dans sa poche une barre de drogue, j'ai crû que j'allais m'écrouler. Je ne voulais pas y croire mais je m'aperçois qu'avec le temps c'est de pire en pire.
Quand j'en parle autour de moi on me dit que tous les jeunes fument de temps en temps des joints et que mon fils, dans son état normal, a du savoir-vivre et m'aime énormément. Mais lui, sa fréquence est plus régulière.
Je pensais qu'en étant très gentille avec lui et en lui donnant beaucoup d'attention et d'amour, il allait réaliser ce qu'il faisait c'est à dire "se faire du mal". Quand j'en parle à ma famille on ne veut pas me croire. On me dit que ce n'est pas possible, qu'il est dans une bonne famille. Je ne sais plus quoi faire pour le raisonner, c'est la drogue qui est la plus forte.

JE VOUS SUPPLIE DE M'AIDER, COMMENT FAIRE ? PAR QUOI COMMENCER ? En se détruisant il me détruit. Je me dis que si j'en finis avec la vie ça va le faire réagir, mais ce n'est pas la solution, donc j'ai décidé de me battre. C'est pour ça que je demande votre aide car je pense qu'il est encore récupérable.
Je lui ai dit de faire du sport, il ne veut pas. Par contre à l'école il m'a promis après deux renvois d'une semaine pour travail non fait de se remettre à travailler. Quand il est à la maison je lui fais tous les plats qu'il aime je m'assois avec lui dans sa chambre et je fais semblant de m'intéresser à ses jeux de combat.

Mon mari est décédé quand mon fils était très jeune. Je vous prie de bien vouloir m'aider car je ne veux pas que la drogue m'enlève mon fils.
Je ne travaille plus, j'ai du mal à dormir, j'ai honte d'en parler à mes amies car autour de moi je ne connais personne qui ait un enfant qui se drogue ou délinquant, donc je me renferme.
Aujourd'hui j'ai pris rendez-vous avec un psychiatre pour l'aider mais je pense que je vais me faire crier dessus, je sais qu'il n'ira pas, comment faire pour le persuader ? Est ce que je dramatise trop ? La question que je me pose : est-ce l'adolescence ou est-ce le manque de son père qu'il aimait tant ?

Répondez moi s'il vous plait si vous avez déjà eu des cas comme le mien.

Une maman en détresse.

Notre fils se drogue depuis l'âge de 14 ans, (cannabis surtout), il est âgé actuellement de 20 ans. Il réside chez nous, nous nous sommes aperçus qu'il fumait lorsqu'il avait 17 ans.

Pour lui et son meilleur ami, le cannabis n'est pas nocif. Il a suivi une mesure d'injonction thérapeutique pendant un an, suite à une dénonciation à la Gendarmerie mais il a trafiqué les analyses d'urine, donc celle-ci s'est avérée inutile.
Nous avons fait appel à un psychologue en vain, cherché à comprendre, fait appel à plusieurs organismes, mais il ne veut pas se faire soigner.

Notre vie familiale est un enfer, il casse tout, se bat avec son frère qui ne supporte plus de l' entendre injurier ses parents, et surtout de le voir se détruire, (tousse, se gratte, maigreur, boit beaucoup d' alcool, sort beaucoup). Ma femme et moi-même ne savons que faire. Nous lui parlons beaucoup, mais il rejette nos dires. Nous avons essayé la gentillesse, la sévérité mais rien n' y fait.

Nous n' avons pas le droit de le laisser se détruire. Que faire pour que cet enfer cesse. Nous avons l' impression que nous avons perdu notre fils car lorsqu'il est en manque ce n'est plus lui réellement (violent, injures, yeux exorbités) de même lorsqu'il a fumé (gentil).

Comment devons nous nous comporter ?

Bonjour,

Je suis une maman à bout de forces et d’arguments devant un enfant révolté et violent.

Je parcours aujourd'hui’hui Internet dans l’espoir d’y trouver un peu d’aide. Votre site me paraît très intéressant.

Je rencontre depuis presque 4 ans de gros problèmes avec mon fils de 15 ans. Déscolarisation, agressivité, violence physique et verbale. Il consomme très régulièrement du cannabis même s’il l’avoue difficilement.
Après l’avoir accompagné auprès de psychologues, pédopsychiatres, hôpitaux, associations, tribunal, éducateur … je me trouve confrontée à une situation qui ne fait qu’empirer.

Je n’ai jamais rencontré d’association qui vienne en aide aux consommateurs de cannabis (à forte dépendance).

Pouvez vous m’aiguiller en ce qui concerne ma région.

Je vous remercie vivement

Bonjour,

Je suis désarmée par rapport au cas de mon fils qui vraisemblablement est dépendant physiquement au shit + bang + ecstasy ...
Il a 16 ans, est déscolarisé, démotivé, oisif, parfois agressif, se nourrit très mal, dort mal, se lave peu et refuse toutes les alternatives que j' ai essayé de mettre en place pour et/ou avec lui.

Mes soupçons sont confirmés de jour en jour, et je ne trouve pas de solutions. Je l' élève seule, connaît bien le domaine de la prévention, mais il s' avère que toutes les tentatives sont un échec, tant que lui ne veut pas adhérer. Je crains qu' il ne poursuive cette mauvaise pente jusqu 'à un point de non retour ...

Qui peut m' aider ? me conseiller ? Dois-je prendre des mesures draconiennes et lesquelles ? La brigade des mineurs ne me prendra pas au sérieux, j' ai demandé une mesure d' actionéducative mais longue et incertaine, un rendez-vous est pris avec un Centre intersectoriel pour adolescent mais pas avant un mois, on a tout essayé avec les CPE mais sans résultat ...

Je le sens en danger et victime à la fois. Il a un comportement en dent de scie, mi-ange, mi-démon, il est menteur, voleur à petite dose car je ne laisse plus traîner d' argent, j' ai appris qu' il avait quelques dettes, je sais qu' il a de mauvaises fréquentations.
Pourtant ex élève brillant, intelligent, doué, mais a délaissé ses passions depuis 3 ans.

Dois-je assister à cette déchéance sans pouvoir agir efficacement ? Au risque de me voir nommée "parent démissionnaire", alors que c' est loin d' être le cas ?

Merci de me répondre.

Je ne sais plus quoi faire comme beaucoup de parents dans mon cas. Mon fils, âgé de 14 ans a un pied en prison. Il est actuellement dans un C.E.R. (4 mois de sursis avec mise à l' épreuve).
Depuis deux ans, période à laquelle il a goûté au cannabis, il accumule les délits et malgré toutes les tentatives d' aide, il refuse de s' en sortir. Il est déscolarisé alors qu' il était entré en études de sport avec une moyenne générale de 15. Sportif, intelligent, entouré, beau garçon, il a à peu près tout pour s' en sortir (sauf un père qui ne s' en est pas occupé mais qui tente tout de même des contacts). Un séjour de rupture à ***** nous avait donné une lueur d' espoir mais à son retour, il a tout saboté et accumule à nouveau les actes de violence et les "pétages de plomb". Je ne trouve plus les mots ni les solutions. Cela devient une obsession. [.........]

C' est pourquoi je me tourne vers vous pour savoir s' il n' existerait pas des centres de soins pour désaccoutumer ces jeunes toxicomanes, car appelons les choses par leur nom ce sont bien des toxicomanes, car lorsque l' on devient esclave au point de vendre tout ce que l' on a de plus cher ou de violenter autrui pour le voler, il n' y a pas d' autre mot.
Je ne veux plus entendre que le cannabis est une drogue douce. Chez un jeune, c' est un suicide à petit feu. Le cannabis m' a volé mon fils il y a deux ans, lui vole les plus belles années de sa vie et lui vole son avenir.[.........]

Donc voilà, en vraiment très condensé, une histoire banale mais qui détruit une famille au quotidien. MERCI DE M' ORIENTER CAR JE SUIS PERDUE.

Bonjour,

Je suis mère de deux enfants..... Nous avons découvert les problèmes de toxicomanie de notre fille depuis environ trois ans mais ceux-ci existent depuis semble-t'il l'âge de ses 15 ans. Actuellement en études supérieures après un premier échec, elle refuse de reconnaître sa toxicomanie (grande consommatrice régulière de shit qu'elle fume aussi au narguilé, elle consomme énormément d'alcool). Nous supportons depuis plusieurs années son agressivité, ses crises aigues, sa maigreur, sa toux, nous l'avons trouvé dans son lit dans des états comateux...

La situation familiale se dégrade de plus en plus avec les tensions permanentes, le papa qui protège sa fille qui ne peut discuter sans hurler, ET LE PETIT FRERE !!!!
Le petit frère qui jusque là angoissé est devenu l'initié et l'initiateur ??? Je viens de découvrir une feuille de joint dans ses affaires personnelles et un mail trouvé confirme le fait qu'il ait fumé avec des amis...
Je suis très en colère contre sa grande soeur qui depuis longtemps fume devant lui et banalise la chose, j'estime qu'elle met son petit frère en situation de danger et je suis fermement décidée à dresser un ultimatum avec elle : soit elle accepte une thérapie, soit elle quitte le domicile...J'ai peur pour son frère...Qu'en pensez-vous ???

Nouvellement installée sur la région *****, je ne sais à qui m'adresser, pouvez-vous m'aider ?? Je vous remercie infiniment de toute l'aide apportée aux parents en difficulté comme moi-même par le biais de votre site.

MERCI DE VOTRE AIDE.

J'ai une fille de 20 ans qui, malheureusement, consomme du canabis. Lorsqu'elle a commencé elle avait a peu près 14 ou 15 ans et quand je m'en suis rendu compte, j'ai contacté la **** (service d'aide pour les jeunes en difficultés) je n'ai obtenu aucune aide et le directeur du centre a presque dit à ma fille que sa mère était "parano".
C'est dommage, car j'ai contacté mon propre médecin pour m'aider. Mais ma fille a refusé qu'on intervienne, elle fuguait et devenait très colèreuse. L'adolescence de **** a été très scabreuse. Ses grands parents lui donnaient l'argent à mon insu.

Aujourd'hui elle a 20 ans ; elle est mariée avec un jeune homme très bien mais qui n'a aucun contrôle sur ma fille car je me suis apperçue qu'elle fumait au moins trois joints par jour. Elle m'en a même parlé. Mais il est impossible de la controler.

Elle a des crises du style "tout le monde lui en veut" ou de colère, chez elle il n'y a plus rien puisqu'elle a été obligée de tout vendre (même ses bijoux) elle est instable, ne garde aucun emploi et ne veux pas rentrer "dans le système" dit-elle.

Après avoir lu vos articles sur le net j'ai compris que tous les symptomes décrits apparaissaient chez ma fille.
Que faire pour l'aider ? Elle ne veux pas qu'on l'aide et est persuadée qu'elle n'est pas accro mais je pense que c'est faux et qu'elle a besoin d'aide.
Pouvez vous m'aider à la soigner et à la sortir de là ?

Merci.